Un refus difficilement compréhensible
🤔 Les arguments publics avancés par Unicode nous laissent dubitatifs :
1/ la difficulté à activer un trop grand nombre d’emojis pour des raisons de capacité de mémoire des téléphones (sachant qu’un portable 📱 a aujourd’hui des capacités plus importantes que celles mobilisées lors de la mission Apollo 11 pour envoyer une fusée sur la Lune 👩🚀🌚…) ;
2/ le consortium ne souhaite pas activer des emojis pour lesquels il n’a pas encore arrêté de méthode de mesure du succès potentiel ;
3/ il ne souhaite pas non plus créer des inégalités entre régions d’un même pays.
😑 Ces arguments ignorent volontairement les 405.886 #EmojiBZH générés sur Twitter début 2020.
Changeant par ailleurs les conditions d’examen des emojis drapeaux régionaux, Unicode ne nous laisse désormais que 2 possibilités techniques pour activer notre emoji drapeau breton :
👉 solliciter chaque plateforme pour activer individuellement un emoji régional.
👉 s’appuyer sur le (futur) mécanisme QID qui faciliterait la possibilité pour une plateforme (Twitter, Facebook,…) d’activer des emojis en plus de la liste Unicode standard.
La suite : de nouvelles pistes pour faire éclore notre emoji
Quand une instance de régulation comme Unicode change les règles en cours de jeu, le recours à un arbitre ou à une alternative s’impose. Nous nous proposons donc de :
👉 travailler au niveau européen en rassemblant notamment d’autres régions 🇪🇺 pour faire évoluer un alphabet emoji dominé par la culture américaine 🇺🇸.
👉 travailler parallèlement à activer notre emoji auprès de plateformes alternatives (Signal, Telegram) pour challenger les GAFA sur la corde sensible du chiffre d’affaires.
Ainsi pour commencer à matérialiser notre demande emoji sur ces plateformes alternatives, nous avons créé des autocollants (stickers) téléchargeables depuis votre smartphone via les liens ci-dessous :
Le combat continue. Si les Américains connaissent le fighting spirit anglais, nous allons leur faire découvrir la ténacité bretonne ! 🏳️🏴✊